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Le Climat Des IDE En Algérie :Tendances Et Perspectives

Pour bon nombre d’opérateurs
étrangers, le climat des affaires en Algérie a
certes connu une avancée indéniable, mais il
reste encore des efforts à déployer pour
captiver de manière substantielle les IDE.
Bureaucratie, difficultés d’accès au foncier,
inadaptation du système bancaire et autres
difficultés structurelles de l’économie nationale
sont sans cesse évoquées comme étant à
l’origine de la réticence dont font preuve les
investisseurs étrangers à l’égard du marché
algérien.
S’accordant à reconnaître que le
climat des affaires en Algérie s’est nettement
amélioré, toutefois, tout le monde continue à
estimer que le marché algérien n’est autre
qu’un ensemble d’opportunités d’affaires au
sens strictement commercial. Quant aux flux
d’investissements directs étrangers, il
semblerait que beaucoup de choses reste à
faire pour parvenir à les drainer.
L’accumulation des 68 milliards de
dollars de réserves de change, le lancement
d’un plan de relance quinquennal de plus de 60
milliards de dollars, et la mise en vente de
1200 entreprises publiques constituent en effet
autant de signaux positifs censés captiver
l’intérêt des milieux d’affaires de tous bords. Et
comme pour assurer de la bonne santé macro
financière qu’affiche le pays ces quelques
dernières années, les organismes de garantie
des exportations des pays de l’Europe ont revu
à la baisse le risque Algérie de la catégorie 4 à
la catégorie 3, ce qui dénote ainsi un regain de
confiance envers le marché algérien.
Mais est ce pour autant suffisant pour
attirer les investissements directs en Algérie ?


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