Numéro 06

Cet article aborde le théme des arts populaires Algériens dans le
but de susciter de l’intérêt pour la connaissance et la vulgarisation de
ces arts, car ce domaine souffre d’un manque de prise en charge par les investigateurs. Par ailleurs, l’article se veut être une première lecture dans les composantes des arts populaires, leurs normes, leur influence, leurs types et modes d’expression. Il vise de même à faire une approche de la relation entre artspopulaires et arts académiques en essayant de définir les points de rencontre des deux types d’arts tout en insistant sur la nécessité de les considérer comme sources de connaissance pour la sociologie et lefolklore.

This article tries to examine the Aigrerian experience of
development since independence, especially in the last two decades when
several changes have been occurred. During the years since 1986 the
problem of development in Aigeria has become even more urgent and
anxious ; whenfaced with growing and dangerous crisis.
At this stage of developpment ((f there is such a development) ; it
has been verj difficuit, (f flot possible, 10 carry on such n development,
when the level of investinent, consumptiofi growth and the standard of
living of the majority of people have been deteriorated. So, in this
situation one can ask (f there is such a development at ail, if rather there
is an underdevelopment ?
This article analyzes the Aigerian experience of development,
suggests approaches and strategies 10 soive probierns of such a pure
econornic development and provides some recommendations for a course
of action. Taking into consideration the trend towards giobalization.

Les grands pays industrialisés traversent une phase de récession,
le chômage menace des millions de personnes. Parallèlement,
l’industrie connaît une importante série d’innovations. La dimension
temporelle du travail en sera modifiée et exigera une nouvelle
compétence de la part des salaires.
Chacun sait ce qu’est l’argent, pas seulement l’économiste, celui-
ci peut décrise l’argent vrais il ne peut le défmir clairement
essentielle de la vie humaine se dérobe à toute définition.
Satisfaisante, comme le montrent les tentatives de défmitions
entreprises par les auteurs des sciences sociales le plus diverses. Et cela
vaut aussi pour ta tentative faite ici qu’on peut présenter comme une
réflexion sur les modifications du contenu du travail, sur la flexibilité
des horaires, sur sa valeur demain.

Notre modeste contribution à travers ce texte consacré à la
politique de l’emploi en Algérie et au processus de la compression des
travailleurs consiste à mieux appréhender le phénomène, et de savoir
qu ‘elle est la réaction des différents groupes sociaux face à une autre dynamique de la gestion.Depuis l’entrée en application des réformes économiques dans
le cadre de l’économie du marché, l’entreprise publique a entamé une
démarche qui consiste à libérer des milliers de travailleurs.
Brusquement le monde d’emploi fait face à un nouveau destin et le
chômage s’accentue à un rythme très élevé.
Quefaire alors pour les prendre en charge ?, il est difficile de
répondre à cette pertinente question, d’autant plus que les créations
d’emplois permanents se situent aujourd’hui à quelques dizaines de
milliers. Au delà des chiffres eux mémés, les conséquences sont
profondes. Un malaise réel trouble la société qui se révèle incapable
d’insérer valablement ces milliers d’acteurs sociaux dans le circuit
économique.
Qui ignore pourtant l’ampleur des problèmes que soulève
apparemment la compression
Quelle attitude vont adopter les licenciés et les partenaires
sociaux face à ce nouveau phénomène ? Peut-on dans les conditions
actuelles espérer une réelle réinsertion  ? Autant de questions qui
restent sans réponse, tant qu’on a pas libérer les entreprises d’un
certain nombre de contraintes juridiques et de contraintes de gestion,
engager une réelle politique d’investissement et valoriser le travail .

Cette con fribution étudie le concept de conflit dans le domaine
des organisations (entreprises publiques industrielles algérienne )
prenant comme case de départ trois hypothèses.
La première stipulegue Le rôle des facteurs internes dans la
genèse des conflits durant la période (1962-1971) durant laquelle on
remarque les trois élément suivants
1 Conflit d’intérêt au niveau du système de l’autogestion
industrielle,
2. Début de conflit au niveau du système du capitalisme
d’état.
La deuxième étudié la contribution du système de la gestion
socialiste des entreprises dans la continuité du conflit entre les groupes
de travail au sein de l’organisation industrielles et ses répercussions
durant les années (1971 -1988)
Industriellement et collectivement.
La troisième hypothèse explore l’impact de l’autonomie des
entreprises sur l’accroissement du phénomène conflictuel au niveau de
l’organisation industrielle de
1988-1993.
En défmitf la présente étude à démontre que le phénomène des
conflits dans lesentreprises publiques algériennes dépend de plusieurs
facteurs : organisationnel, économique, social... etc et de ce fait il prend
plusieurs formes allant de l’absentéisme jusqu ‘à la greve comme ultime
recours de revendication, ceci influence négativement sur les objectifs
de la politique de développement industriel.

Le plupart des analyses sociologiques au changement de la famille ( Algérienne ) axent leurs efforts sur un seul facteur qui est la technologie et ses effets sur refonte du concept de la famille elle-même . Le présent article démontre au contraire que la constitution du concept de la famille est tributaire de plusieurs éléments : politique, social, économique et religieux avec l’impact de l’espace (urbain, rural…..etc).

Le présent article tend à exposer une lecture critique sur les œuvres des deux grands courants connus en sociologie en matière des conflits sociaux à savoir « le structuro-Fonctionnalisme et » et « le Marxisme »