The herbicide dichlobenil was compared with the standard haploidizing chemicals, benomyl and p-fluorophenylalanine, for its effects on mitotic stability and haploidizaftion of diploid colonies of A. nidulans. Three dufferebt duploid strains were used so that the influence of a gene conferring resistance to dichlobenil (dicA)on mitotic stability could also be determined. Diploid colonies gomozygous for the normal allele (dicAs // dicAs)and the mutant allele (dicAr // dicAr)or heterozygous at this locus (dicAr // dicAs)were transferred to dishes of CM supplemented with dichlobenil, benomyl or pfa and incubated at 37°C. The number of sectors scored after 4 and 8 days incubation was used as a measure for mitotic instability. This investigation has shown that dichlibenil causes an increase in the somatic instability of A. nidulans diploids, and is as effective as the haploidizing chemicals benomyl and p-fluoraphenylalanine (ofa)in generating haploid sectors.
Ce travail est une synthèse des résultats de travaux personnels réalisés sur Phoracantha semipunctata F. comparés à d`autres travaux réalisés sur la wylophagie des insectes. Il traite des différentes formes d`adaptation à ce type alimentaire résultant d`une longue évolution du couple plante-insecte. Les différentes études menées dans ce cadre montrent, clairement, que le tube digestif de ces insectes représente, tant sur le plan morphologique et anatomo-histologique que biométrique, la plus significative forme d`adaptation à la xylophagie. A l`ensemble de ces adaptations, s`ajoutent des spécificités enzymatiques et un ajustement des pièces buccales en rapport avec la nature chimique et physique d`un aliment sec et faible valeur nutritive qui est le bois.
Ce travail est une synthèse des résultats de travaux personnels réalisés sur Phoracantha semipunctata F. comparés à d`autres travaux réalisés sur la wylophagie des insectes. Il traite des différentes formes d`adaptation à ce type alimentaire résultant d`une longue évolution du couple plante-insecte. Les différentes études menées dans ce cadre montrent, clairement, que le tube digestif de ces insectes représente, tant sur le plan morphologique et anatomo-histologique que biométrique, la plus significative forme d`adaptation à la xylophagie. A l`ensemble de ces adaptations, s`ajoutent des spécificités enzymatiques et un ajustement des pièces buccales en rapport avec la nature chimique et physique d`un aliment sec et faible valeur nutritive qui est le bois.
L`introduction des eaux usées comme ressource complémentaire en eau, constitue un apport intéressant pour l`agriculture qui souffre d`un déficit hydrique. Cependant, l`utilisation agricole des eaux usées peut entraîner un risque sanitaire qu`il convient d`évaluer objectivement. Cette évaluation objective nécessite entre autre, une connaissance de l`état de contamination chimique et micro biologique des eaux et des limites entre lesquelles peut varier le degré de cette contamination. Pour cela, une étude sur la qualité d`eaux usées traitées a été effectuée. Cette étude nous a permis de caractériser les eaux traitées de la STEP de BARAKI, par une série d`analyses physico-chimique et bactériologiques. Afin de compléter cette étude sur la plant agronomique, une expérimentation sous serre a été réalisée sur une culture de poivron afin de suivre l`impact des eaux usées traitées sur le sol et la plante par rapport à un témoin irrigué avec une eau de forage. L`analyse des résultats a révélé l`absence de pollution chimique, des teneurs très faibles en éléments fertilisants et une charge bactériologique importante.
En Algérie, les terres impliquées dans la production fourragère s`élèvent à environ 33 millions d`hectares. Ces terres offrent en moyenne moins de 8 milliards d`unités fourragères lait (UFL)par an dont 82 pourcent proviennent de la jachère, des chaumes de céréales et des pacages et parcours. Les cultures fourragères n`en fournissent que 8 pourcent. Le déficit fourrager annuel est très important avec un peu plus de 4 milliards d`UFL, ce qui correspond à un taux de couverture alimentaire de 66 pourcent en moyenne.
La production de chaleur chez le poulet de chair en croissance (18 à 33 jours d`âge)est mesurée sur deux lots de 20 animaux mis en cages individuelles et recevrant de l`aliment ONAB « croissance-finition » durant l`essai. La dépense énergétique est appréciée à travers les résultats d`un bilan énergétique observé sur l`ensemble des sujets. L`énergie retenue par chaque animal est mesurée par le biais de la composante protéique et lipidique des carcasse. En moyenne, la production de chaleur se situe à 178.80 Kcal/j/animal soit 70 pourcent de l`énergie métabolisable ingérée. La rétention énergétique est assurée à raison de 69.36 pourcent par les lipides et de 30.64 pourceb par les protéines.sujets. L`énergie retenue par chaque animal est mesurée par le biais de la composante protéique et lipidique des carcasse. En moyenne, la production de chaleur se situe à 178.80 Kcal/j/animal soit 70 pourceny de l`énergie métabolisable ingérée. La rétention énergétique est assurée à raison de 69.36 pourcent par les lipides et de 30.64 pourcent par les protéines.